Connaitre son histoire est très capitale. Cela permet de savoir d’où l’on vient, éviter les mêmes erreurs et construire un avenir radieux pour la postérité. C’est pourquoi, « l’histoire de ce peuple au temps de nos aïeux, de nos rois nous laisse jusqu’à ce jour une trace indélébile où il faille inculquer à la génération montante et celle ascendante que la haine constitue un mur à démolir afin de reconstruire l’histoire de ce peuple pour son rayonnement », voilà une des solutions de la Pierre Angulaire pour un Bénin uni et développé.
Cependant, « la logique de l’ordre démocratique impose à tous les hommes publics, quelles que soient leurs sympathies et leurs antipathies, de manifester leur considération à l’égard de ceux qui leur sont opposés dans le combat politique. À cet effet, utiliser la haine comme une arme constitue un danger », s’indignent-ils. En effet, « Un peuple au sein duquel figure une masse importante de race inhumaine, perverse et animée de tous vices, conduit inévitablement à sa destruction massive. Dans la démocratie où tous les postes et les statuts sont en principe ouverts à tous, les individus ne cessent de se mesurer et de se comparer les uns aux autres. La jalousie est l’expression pervertie de l’égalité. Et les sociétés démocratiques nourrissent la passion de l’égalité. Alors, la jalousie, quand elle devient féroce, se transforme aisément en haine », déplorent-ils, ce comportement chez les béninois.
Pour inverser les choses, la Pierre Angulaire pour un Bénin uni et développé (Pabud) propose une idéologie qui est « d’imprimer, consolider et enrichir les valeurs cardinales de l’être humain à travers un référentiel de morales, d’éthique, de civisme et de sursaut patriotique limpide », propose Simplice DOSSOU, président du comité d’organisation du congrès.
La véritable pierre principale pour redonner confiance au peuple béninois demeure irréversiblement la PABUD, la lumière du Bénin.
Alain Kolawolé ALAFAÏ