Présent du 02 au 05 avril 2024 au palais des congrès de Cotonou, lors du premier dialogue mondial des jeunes, sous l\’égide des Nations Unies et l\’UNFPA, marquant les 30 ans de la conférence internationale sur la population et le développement (CIPD). Sur les milles jeunes issus de plus 130 pays, venus prendre part activement aux travaux, Serge SEWA, président de l\’Ordre national des jeunes leaders du Bénin, de la délégation béninoise s\’est distingué et à lancé un message à la jeunesse de son pays, afin qu\’elle ne reste pas en marge des mutations en cours.
\ »Je dis un grand satisfecit dès l\’entame, puisque nous voyons concrètement qu\’il y\’a la diversité qui est prôné, lors de ce dialogue mondial des jeunes. En ce qui concerne le contenu des thématiques, 03 choses ont retenu fondamentalement mon attention. D\’abord, le droit à la santé et de la reproduction. Aujourd\’hui, parler de ce sujet sans tabout, faire la vulgarisation de l\’information pour ceux qui n\’avaient pas l\’information et faire des propositions, c\’est génial\ », a-t-il mentionné.
Ensuite, \ »il s\’agit de la santé mentale. Nous savons que bon nombres de nos jeunes dépriment, font usage des substances toxiques et nocives. Alors, il fallait en parler et proposer des recommandations afin qu\’il ait de régression, jusqu\’à suppression total de cet état de chose, puisque sans la santé mentale, aucun être humain ne peut mettre son plein potentiel en jeu. Enfin, il s\’agit de l\’inclusion de la jeunesse dans les instances de prise de décision. Cela fait partie de nos droit aujourd\’hui. Si les jeunes doivent s\’exprimer, il faut qu\’on leur donne l\’accès aux instances qui leur permettraient de mieux interagir et de mieux faire valoir leur compétence\ », a-t-il notifié.
En ce qui concerne ses attentes, \ »que les recommandations qui seront issues de ce dialogue puissent être automatiquement applicables. Car, il s\’agit des jeunes qui ont travaillé et ont fait des propositions pour trouver des solutions aux problèmes des jeunes. Que cela ne reste pas dans les tiroirs. Nous voulons des résultats concrets et probants\ », s\’est-il adressé aux autorités.
Alain Kolawolé ALAFAÏ