Pourquoi refusons-nous de nous donner des limites ?
Hommage à tous ceux qui souffrent dans leurs âmes et leurs chairs appelant au secours l\’Eternel, Le Tout Puissant.
Il n\’y a d\’abus que d\’abrutis et le déclin en tout contexte est produit toujours par une colonie d\’espèces belliqueuses dont les vautours et les charognards en sont les maîtres du jeu. Ils n\’ont jamais assez reçu et ont besoin de reconnaissance pour leurs méthodes d\’action dans la chaîne alimentaire.
Les abrutis détestent toujours des illuminés, car il y a ceux qui sont porteurs de faux rêves et champions en hallucinations et ceux qui voient loin parce qu\’ils ont un esprit éveillé avec une alerte d\’anticipation. Ces derniers ne sont écoutés qu\’au coucher du sol quand la tempête de nuit surprend chacun dans son sommeil. Voilà ce qui arrive quand la ferlisation croisée est méprisée par les complexés qui croient être visionnaires avec leur cécité intellectuelle. Ne soyez pas des sots qui passent le temps à sauter comme des sauterelles qui cherchent en vain de quoi construire leurs nids. Il y a pas d\’arbres dans l\’Aïr et que vient chercher la sauterelle dans ce désert. L\’impertinence et l\’inutilité sont les prédispositions à l\’égarement.
Que l\’humilité apporte à chacun la simplicité qui lui est nécessaire pour son inutilité, car qui refuse de préparer son inutilité assume son effacement sur le tableau d\’honneur de l\’humanité. La simplicité seule vous permet de faire grandir les autres. En les respectant, vous donnez du sens à votre propre vie. Aucune bénédiction ne vaut pour celui qui a tourner le dos à l\’humilité, au respect de la dignité et à la simplicité qui sont les fondements de l\’humanisme et de l\’espérance. Maintenant, tous les Hommes doivent être égaux en humanisme. Tout le reste est alors inutile car superflu.
Sachez-le enfin, aucun être et aucun avoir ne sauraient surpasser l\’humanisme et c\’est pourquoi seule la fraternité réconcilie les hommes. Que personne ne bombe son torse. Nous sommes tous nés éphémères et nous n\’aurons pas écrit grand-chose dans nos éphémérides avant le dégagement.
Les vivants se souviendront de ceux qui ont su ouvrir leurs cœurs comme des vannes d\’aération pour que personne ne soit asphyxié pour non assistance à personne en danger. Assez nos gaffes et soyons solidaires dans la traversée du désert de chacun. Chacun a son tour!
Simon-Narcisse Tomety