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Affaire harcèlement sexuel: \ »le problème de harcèlement n’existe pas seulement au niveau de nos écoles et universités (…) Toute notre administration est gangrenée par ce fléau\ » réaction d\’Alédjo Maora

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Réveillez vous 🔊🔊🤸‍♀️🤸‍♀️🤸‍♀️🤸‍♀️

L’histoire de la stagiaire est quand même rocambolesque digne d’un film obscure.
Voici une femme qui a eu des rapports sexuels avec trois différents responsables d’une même faculté.

Les rapports sexuels n’ont pas eu lieu ni au même endroit, ni simultanément, ni au même moment mais plusieurs fois pendant longtemps avec chacune des trois personnes.
Va et vient incessants diémin. Lol

L’avait-on drogué ou forcé ou encore menacé afin qu’elle garde le silence pendant un temps ?

Pourquoi n’avoir rien dit dans le temps dès le premier cas, ou le deuxième cas ?
Pourquoi avoir accepté plusieurs fois et c’est maintenant qu’elle juge nécessaire d’en parler ?

À vous la parole🎤…

Je ne défends pas les professeurs vicieux qui profitent allègrement de leurs positions de décideurs pour abuser autant des jeunes étudiantes que des femmes mariées inscrites dans nos écoles et facultés .
Mais cette histoire m’appelle à poser ces questions.

La situation actuelle et les lois votées à la va vite encouragent la délation et cela risquerait de desservir la justice.
Peut-être avait on promis quelque chose à cette stagiaire qui se venge aujourd’hui des promesses non tenues par ses amants d’hier devenus agresseurs aujourd’hui ?

En cette rentrée scolaire où le manque d’enseignants se pose avec acuité, il faudra revoir cette forme violente d’emprisonnement expéditif sur délation et confier plutôt ces dossiers à une enquête minutieuse qui aboutirait à un dépôt ou non.

La CRIET de par sa définition et son rôle primaire ne devrait pas être compétente à juger de faits de harcèlements, de viols et des délits liés au genre.
Ces délits n’ont rien d’économiques, ni de terrorismes alors pourquoi la CRIET ?

Par ailleurs, le problème de harcèlement n’existe pas seulement au niveau de nos écoles et universités. Toute notre administration est gangrenée par ce fléau ; cette calamité.
Ainsi, voit on plein de responsables de nos administrations sortir avec des jeunes élèves et étudiantes, qu’ils couvrent de cadeaux de toutes sortes et de grandes valeurs, les enceintent et ordonnent leur avortement à tour de bras.

Même beaucoup de ministres avaient été et sont encore promoteurs par canapés ou hôtels.
On fait quoi avec eux ?
À quand leur ciblage ?

Bonjour famille ❤

ALEDJOMAORA

BABADOUDOU

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