Gari, huile végétale , haricot, pain,maïs…
La liste s\’allonge chaque jour et augmente le stress au sein de la population toutes couleurs confondues.
Numérotation des plaques de motos, casque, certificat de paternité carte d\’identité numérique, assurance maladie obligatoire..
Ce n\’est pas que tout ceci est d\’office mauvais. Mais le problème est que pendant plus de 5 ans, les salaires n\’ont pas varié alors que les charges ont augmenté de toute part de façon exponentielle.
Le code du travail a réduit le travailleur presque à l\’esclavage.
Pour quel développement doit on faire autant de sacrifice ?
Ceux qui nous vante ce développement de badigeon ont tous les pouvoirs entre leurs mains et sont pleins aux as comme Crésus.
En même temps qu\’on parle dans l\’illégitimité de mandat hautement social, la vague de hausse des prix n\’a encore incité personne à subventionner certains produits de première nécessité.
Se moquera t-on du peuple une fois encore après l\’épreuve de serrage de ceinture ?
C\’est dommage que le clan usurpateur ne sait pas prendre les bonnes mesures de gouvernance ou peut-être se fout-il royalement de la souffrance du peuple ?
Lorsqu\’on privilegie les cultures de rente et qu\’on s\’accorde des subventions sur ces intrants, comment fait on avec un cœur sensible à ne pas penser au peuple qui ne demande qu\’à survivre ?
Quand on a en mains tous les secteurs vitaux de l\’économie d\’un pays et qu\’on en a le monopole comment peut on comprendre la souffrance d\’un peuple dont on est si éloigné ?
On crie sur tous les toits que nous sommes premiers producteurs de coton en Afrique ou dans la sous régions mais nous sommes incapables de produire de l\’huile à base de graine de coton.
Madame a le monopole de la noix d\’acajou sans qu\’on ne puisse produire son huile et l\’exporter car c\’est extrêmement cher.
Le mensonge prend l\’ascenseur alors que la vérité les escaliers.
J\’ai dénoncé et prédit tout ce qui se passe mais vous n\’y avez trouvé que de la haine envers TALON.
J\’observe avec tristesse le ciel s\’assombrir au dessus de mon pays chaque jour.