Quiconque exerce le pouvoir d’État n’a pas tous les pouvoirs : les illusions de puissance avant l’écroulement de l’empire.
De la clé des champs à l’éthique de nul n’est au-dessus de la loi lorsque toute loi corrompue dans son esprit devient une loi de programmation de la méchanceté assumée. Cette loi ne peut rien améliorer, elle n’est qu’une loi de régression sociale et la pire des toxines qui empêche le vivre-ensemble.
Toute loi taillée sur mesure est une loi d’ensauvagement qui combat la dignité humaine par l’humiliation et stimule des bains de sang.
- Bon à savoir : nul n’est plus fort que son peuple.
La loi n’a aucun sens si elle sert à organiser la chasse à l’homme et les règlements de comptes.
- Quand on a le pouvoir et on l’exerce dans la démesure, il faut garder en mémoire qu’un jour, la loi d’attraction et son effet boomerang deviendront votre braconnier. Vous devenez ainsi sa proie facile.
Le mal que vous faites en jubilant de voir les autres malheureux, ce mal enrichissant votre propre sort et votre destin, il vous rattrape forcément tôt ou tard, et c’est un principe karmique inévitable.
- Votre karma est comme votre maître esclavagiste avec sa chaîne et son garrot de répression. Vous serez fragilisé par chacun de vos abus et chacune de vos nuisances choisies. Vos nuisances effacent vos bonnes œuvres. On ne le sait jamais assez pour être un peu plus sage.
Comme quoi, l’homme solde forcément toutes ses injustices pour payer le prix de ses abus avant de passer à son compostage. Bon à savoir et personne n’y échappe.
Lorsque nous devenons des orgueilleux irréductibles, la vanité nous accueille dans son royaume des hors-la-loi et tout passa de la grandeur à la petitesse sans pétition et sans alerte.
Trop tard pour être cru sur sa bonne foi. Qui a l’habitude de trahir sera trahi à son tour. Point de masque, point d’énigme face à la loi karmique. Chacun paiera ses dettes d’orgueil et de vanité.
- La vie n’est qu’une courbe de Gauss et la dernière descente est sans remontée. Elle s’appelle le caveau des enlisements finaux.
La fin de la résilience et de toutes les résistances. La gadoue nous accueille pour que nos insanités puissent fertiliser le jardin de nos horreurs afin que poussent des fleurs de l’espérance et des honneurs pour tous. Plus jamais ça ! Une cité pacifique et de mieux-être est possible encore.
Simon-Narcisse TOMETY
