Présent à la célébration des 15 ans d’existence de l’école Indian international school, tenue ce samedi 21 septembre 2024 au palais des congrès de Cotonou, monsieur GNORA Ousman Aliyou, parent de 03 élèves à l’école Indian international school exprime sa satisfaction et déduit que l’établissement fait un travail remarquable et impressionnant. Témoignage
« je dirais, dans un premier temps, on était dans le processus de trouver une bonne école en anglais, ou bilingue pour nos enfants. Et, c’est mon épouse qui a trouvé et a pris l’initiative. En effet, les enfants aînés étaient dans une école francophone. Et, mon épouse a dit qu’aujourd’hui, Il faut qu’on aille vers les écoles bilingues. C’est ainsi, qu’on avait tenté une première école. Mais, les résultats n’étaient pas satisfaisants. Alors, dans ses recherches, elle a pu retrouver l’école indienne et on a inscrit les enfants », a-t-il décrit.
« Par contre, les premières années déjà, nous avons constaté des résultats très positifs. Même chaque fois que les amis viennent de l’extérieur, du Canada ou aux États-Unis, et qu’ils discutent avec les enfants, ils sont vraiment étonnés et émerveillés, du niveau de ses enfants. Ils posent la question de savoir si leur école est au Bénin? Et nous répondons fièrement, bien sûr! C’est l’école indienne qui est au Bénin. Ils nous félicitent et nous encouragent, à maintenir les enfants dans cette école, parce que sans vous mentir, on dirait que les enfants sont dans des écoles au Canada ou au États-Unis. C’est ce qui nous réconforte et on n’est pas fatigué que les enfants poursuivent leurs cursus scolaire dans cette école. Ça fait déjà bientôt 07 ans ou 10 ans qu’ils sont dans cette école », a-t-il expliqué.
« Maintenant, dans le monde entier, tout le monde est en train de comprendre que l’anglais est aujourd’hui incontournable dans le système international, dans les affaires comme dans tous les domaines, il faut forcément intégrer l’anglais à tout ce que nous faisons. C’est pour dire qu’on ne regrette pas d’avoir inscrit nos enfants dans cette école », a-t-il conclu son témoignage.
Alain Kolawolé ALAFAÏ