Présente, au lancement de l’œuvre poétique: « YAYI, la légende », du poète engagé Julien Kandé Kansou, ce mercredi 11 septembre 2024, dans la sixième circonscription électorale, où l’ouvrage est présenté au grand public, Mandjidath ADELEKE, la représentante des femmes du parti Les Démocrates de cette circonscription électorale a non seulement salué le courage et l’engagement de l’auteur, mais aussi et également dresse un chapelet des bonnes œuvres du président Thomas Ishola Boni YAYI. L’intégralité de son message.
Allocution de la représentante des femmes LD de la sixième circonscription électorale, Mme Mandjidath ADELEKE dans le cadre de la cérémonie du lancement du recueil de poèmes du poète béninois Julien KANDE KANSOU
Excellence, monsieur le président du parti Les Démocrates (LD), Docteur Ishola Thomas Boni Yayi,
Messieurs les membres du bureau politique du parti LD ici présents,
Honorables députés ici présents,Monsieur le parrain,
Mesdames, messieurs les enseignants de tous les ordres ici présents,
Mesdames et Messieurs les Cadres et responsables à divers niveaux, en vos rangs, grades et qualités,
Chers camarades de la sixième circonscription électorale, Distingués invités, mesdames et messieurs, Au nom de toutes les femmes de la sixième circonscription électorale et en mon propre, Je vous souhaite la bienvenue et vous remercie d’être venus nombreux soutenir Julien KANDE KANSOU, à l’occasion de la présente cérémonie du lancement de son recueil de poèmes au titre très évocateur qu’est YAYI, la légende. Je salue particulièrement la présence remarquable du parrain de cet événement historique, je veux nommer le ministre Alassan TIGRI. Mesdames et messieurs, il n’est un secret pour personne aujourd’hui au Bénin que les princes du moment, les amis d’en face, essaient vaille que vaille, badigeon en main, traversant monts et vallées, savanes et hameaux tentant ainsi de peindre en noir, les œuvres concrètes et incommensurables de développement réalisées par le président YAYI BONI durant son mandat à la tête de notre mère patrie. Ses actions tangibles dont on ne cessera jamais de rappeler face à l’avancée des sophistes de notre ère, ont pour noms : l’épongeage des dettes intérieures notamment les arriérés salariaux aux fonctionnaires, les cantines scolaires, la mise en place du micro-crédits aux plus pauvres, la gratuité de la césarienne, la promotion des femmes aux hautes fonctions de l’Etat, l’exonération des filles de la scolarité, la sécurisation de l’emploi à travers le reversement des agents en situation de précarité en agents de l’Etat dans tous les secteurs de l’administration publique, la mise en place de l’ONASA, la construction des infrastructures routières et j’en oublie volontiers. Face à cette évidence, on tente d’empoisonner l’esprit des béninois tout en saccageant les acquis sociaux. Et le poète, en tant qu’éveilleur de conscience, demeure celui-là qui ramasse dans les cendres du passé pour construire l’avenir, en paraphrasant Victor Hugo. Mieux, pour l’écrivain français, le poète reste « le rêveur sacré /Lui Seul a le front éclairé/Car la poésie est l’étoile/Qui mène à Dieu rois et pasteurs », in Les rayons et les Ombres. C’est ce qu’a compris le poète engagé KANDE KANSOU Julien pour qui la poésie est un mode de combat de développement de la société, un couvent ésotérique où se cultivent des valeurs morales et une source de fortification de l’âme. Dans cette logique, l’auteur de YAYI, la légende voudrait restituer la vérité immortelle à travers les 105 pages de son recueil de poèmes éponymes qui fait la peinture d’un grand homme d’Etat, un baobab, une citadelle imprenable ayant impacté positivement les esprits de tous les béninois sans distinction de sexe, de région ni de religion comme on le lire dans les vers suivants : «Respectueux des textes de la République/ De la communauté, du droit et de la liberté démocratique/ Soucieux du bien-être de son peuple émergeant/ Assureur de la cohésion, de la scolarisation, du développement. Après le pouvoir, il continue de marquer/ L’âme de son peuple qui l’identifie au Messie/ Dans son regard tout sent bon, tout luit », p.3 Par ailleurs, les 34 autres poèmes consacrés à la personne de notre cher papa constituent l’odyssée à travers laquelle est sculpté chaque compartiment de la vie de cette légende à qui nous souhaitons simplement longévité.
Mesdames et messieurs,
distingués invités,
amoureux des belles lettres,
je voudrais vous remercier une fois encore, pour avoir consacré une partie de votre précieux temps pour répondre à l’appel du poète engagé Julien Kandé kansou à qui j’adresse mes vives félicitations pour sa contribution au développement de notre pays à travers la production de ses œuvres de l’esprit d’où devront s’abreuver les générations actuelles, témoins du temps passé et à venir appelées à poursuivre l’œuvre de la construction de notre cher et beau pays le Bénin.
Dans l’espoir d’une continuité dans le combat commun de développement de ce pays nôtre qui passe, entre autres, par la restauration de nos acquis démocratiques, gage de paix , je vous invite à savourer les réalités éternelles vomies par le cratère de la leste et sacrée plume de Julien Kandé Kansou.
La légende continue.
Je vous remercie !
Abomey-Calavi, le mercredi 11 septembre 2024.