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Guy MITOKPÈ: \ »Des dispositions seraient en train d\’être prises pour que le parti Les Démocrates soit exclu des prochaines élections (…) Et faire, tout pour qu\’un autre parti vienne le remplacer à l\’assemblée nationale\ »

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He Guy Dossou MITOKPÈ

Dans un entretien ce mardi 13 février 2024 sur la radio septentrionale Fraternité Fm, l\’honorable Guy Dossou a fait des déballages sur ce qui se trame contre le parti Les Démocrates. De ces sources concordantes et sûres, \ »il aurait été dit que des dispositions sont en train d\’être prises pour exclure le parti Les Démocrates lors des prochaines élections. Et à la place de ce parti, on puisse faire tout, afin qu\’un autre parti qui a été reçu récemment à la présidence, puisse nous remplacer aussi bien à l\’assemblée nationale que dans les mairies\ », a-t-il déballé sur la place publique. Il continue en disant: \ »quand vous entendez de ces genres de choses, vous vous posez la question de savoir, comment les gens réfléchissent?\ », a-t-il ajouté.

Parlant du rôle du parti Les Démocrates qui est désormais le chef de fil de l\’opposition béninoise, l\’honorable Guy Dossou MITOKPÈ pense qu\’il \ »ne faut pas faire de fixation sur la Fcbe nouvelle version. Nous travaillons pour unir les forces de l\’opposition et nous le faisons au titre de la loi\ », a-t-il notifié. Cependant, il déplore la politique de ne pas vouloir donner tous les prérogatives que lui confrère la loi, au chef de fil de l\’opposition. \ »Lorsque le régime travaille à ce que le chef de fil de l\’opposition ne puisse pas être fonctionnel, pour qu\’il travaille comme cela se doit. Pendant ce temps, on prend un décret pour nommer 12 ministres conseillers\ », s\’est-il insurgé. Et ce qui gêne et dérange dans tout ça, c\’est \ »la politique de 02 poids, 02 mesures. Ce qui ne nourrit pas la confiance dans une république. Pourtant la confiance doit être nourrit entre les différents acteurs, entre l\’exécutif et le peuple et entre les institutions. Malheureusement, aujourd\’hui, le régime a travaillé et continue de travailler pour effriter la confiance\ », a-t-il déploré.

Alain Kolawolé ALAFAÏ

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