Mes excuses, et celles de la jeunesse du bénin à Olivier Boko. C’est ce qui convient de dire quand vous arrivez consciemment ou inconsciemment à verser un ami, un proche, ou un quidame. Jeunesse de mon pays, notre choix est mal fait. Nous qui avons cru que le sérieux, la rigueur, le charisme, le sens d’écoute, la hauteur d’esprit, la vision et bien d’autres qui caractérisent cet homme très effacé et à l’école de Patrice Talon depuis fort longtemps, constituent un atout pour une relève de qualité sur laquelle nous comptons, avons tapé poteaux. Oui ! Nous avons tapé poteaux. Ça fait mal ; Ça fait très mal ; C’est regrettable.
Le week-end dernier, les téléphones n’ont cessé de crépiter. De ces différents appels de désespoir, le sujet est le même. L’ancien député El hadj Yacoubou Malehossou de retour d’une mission pour la jeunesse croyante en Olivier Boko, n’a pu se retenir devant la presse un mois après. L’homme pour qui je voue beaucoup de respects et de considérations dit avoir provoqué presque la colère de Olivier Boko lorsqu’il est allé le voir, portant la lettre de personnes souhaitant sa candidature à la présidentielle de 2026. Il dit avoir été refoulé ce jour, selon les recoupements d’infos dans la presse.
Sommes-nous allés plus vite en besogne ? Ou, avons-nous appelé la colère du tonnerre ?
Si en ces moment, Me Migan, a suscité à tort le troisième mandat de Patrice Talon, ce n’est à la jeunesse soucieuse de son devenir par une alternance crédible au pouvoir en 2026 qu’il faut s’en prendre. Pour nous, voir Olivier Boko pour un entretien entre les jeunes et le grand frère des jeunes sur un projet si sérieux à la jeunesse est comme de la mer à boire. Malgré tout, la détermination d’un aboutissement heureux de ce vœu cher aux béninois, a pris corps et marche comme sur les roulettes quand tout à coup le désespoir s’instaure.
« C’est quoi ? est ce que je leur ai dit que je veux être candidat ? » il se serait montré très ménacant à l’égard des personnes qui appellent à sa candidature dans le cadre de la présidentielle de 2026.
Nous avons donc pris bonne note de votre démission à l’appel de la jeunesse et du peuple béninois.
Chers tous, nous l’avons plébiscité, il nous a refoulé. Moi Thierry Vidégla, Je suis le candidat de la jeunesse à la présidentielle de 2026.
Sources extérieures
