Vivement l\’union sacrée autour de la présidente d\’honneur Sylvianne SENAHOUN
Le Bénin a toujours projeté une belle image à l\’extérieur à travers sa diaspora. Et ce n\’est pas les ressortissants béninois vivant au Burkina-Faso qui feront exception à la règle. C\’est bien la démarche qui inspire la présidente d\’honneur du Conseil des Béninois du Burkina-Faso (CBBF), Sylvianne SENAHOUN qui travaille quotidiennement et inlassablement à l\’union et la solidarité au sein de toutes les communautés béninoises résidant au pays des hommes intègres. Un combat noble qui logiquement devrait nécessiter une mobilisation générale.
Mais chose curieuse, il y a une sorte de rébellion qui se forme et qui a tendance a constitué un frein à cette lutte citoyenne. Et pour cause : certains béninois vivant au Burkina Faso projettent une fausse image du pays, à travers des comportements délirants et qui ne sont pas de nature à soigner le label diplomatique du Bénin à l\’extérieur. Femme battante et intègre, ouverte au dialogue et toujours disponible à se mettre au service de la communauté, la présidente d\’honneur du CBBF tente, par tous les moyens possibles, de rassembler tous les Béninois du Burkina-Faso autour d\’une même cause. Elle qui pourtant a été mandatée par le président du Haut Conseil des Béninois de l\’Extérieur (HCBE), pour mettre en place la section burkinabè de l\’institution, d\’après nos investigations. De quoi donner légitimité au CBBF très connu au pays des étalons.
Le consul honoraire Honorat Zodjihoué dans l\’illégalité?
Chose curieuse, celle qui fait désormais office de trésorière générale mondiale du nouveau bureau du Haut Conseil des Béninois de l\’Exterieur (HCBE), présidé par Romain da Costa, est incomprise dans sa volonté de fédérer les énergies et travailler dans la discipline et la fraternité. Disons qu\’elle est injustement combattue, pour le seul fait de militer pour le rayonnement du Bénin à l\’extérieur. La présidente des femmes leaders est donc confrontée au concept de la \ »béninoiserie\ » qui consiste à user de manœuvres sordides voire dolosives pour faire du mal à autrui. Des gens qui s\’efforcent d\’établir un bicéphalisme à la tête de l\’institution, alors qu\’ils ne sont même pas reconnus par les autorités burkinabè. Des persona non grata qui pensent que, semer le trouble serait l\’arme idéale pour s\’offrir une certaine légitimité. La presse burkinabè s\’invite également dans le débat et dénonce les agissements de certains compatriotes Béninois qui s\’illustrent tristement dans les pratiques de faux et usage de faux en écriture publique. Une infraction vis-à-vis de la loi qui mérite d\’être sévèrement punie, à moins que les auteurs choisissent de se repentir.
Le bon sens doit visiter ces tristes personnages, moulés dans le triste instinct de traîner dans la boue, l\’image angélique du Bénin en terre étrangère. Cette rébellion conduite par une dame sans grande influence et pratiquement inconnue au bataillon, à la tête d\’une ancienne association des béninois à Ouagadougou au Burkina Faso, n\’ira pas loin. Et pour cause, ladite association informelle ne regroupe pas toutes les associations, contrairement au CBBF qui reste et demeure l\’association faîtière dûment reconnue et mandatée, c\’est-à-dire, regroupant toutes les associations et des individus dont ATIGNON Cyrille est le président depuis le 27/02/2021. Pire, la dame en question serait soutenue par Honorat Zodjihoué qui se dit détenteur d\’un document douteux et non officiel de consul honoraire désigné alors que les autorités du Burkina ne le connaissent pas. A la surprise générale et avec étonnement, il se donne le vilain luxe, d\’établir des cartes consulaires, sans avoir été nommé dans les formes des procédures normales requises.
En effet, les béninois sont aujourd\’hui traités comme des escrocs par les seuls agissements de certains citoyens qui refusent de faire les choses dans les règles de l\’art. Vu le statut et la place à eux donnés par les autorités politiques du Burkina-Faso, la seule option qui s\’impose est tout simplement de s\’aligner derrière la présidente d\’honneur du CBBF, pour former un bloc solide et défendre davantage les causes des ressortissants béninois dans ce pays frontalier. Toute autre démarche pourrait se révéler suicidaire pour les auteurs qui seront tenus seuls responsables de leurs actes.
Par le sérieux et la struturation, le CBBF est parvenu à donner une autre image à la communauté béninoise adoubée par les autorités compétentes du Burkina Faso. Logiquement, ces fauteurs de troubles en quête d\’audience et de légitimité devraient s\’aligner derrière la dynamique conduite par la présidente d\’honneur et fondatrice du CBBF, en la personne de Sylvianne SENAHOUN pour relever des défis plus grands, que de semer la graine de la division. En témoigne, la célébration, en rangs dispersés, des manifestations entrant dans le cadre du 62è anniversaire de l\’accession du Bénin à la souveraineté nationale et internationale. Ce qui ne devrait pas être le cas.
Une division née du pouvoir que le ministère des affaires étrangères a donné à un certain Zodjihoué Honorat comme honoraire désigné dont les autorités compétentes du Burkina ne connaissent même pas. Affaire à suivre !
Sources extérieures