1ère édition de la JIF au Centre international de formation en esthétique et en coiffure: \ »Pour faire comprendre aux auditrices les enjeux et l\’importance d\’être une bonne et grande femme aujourd\’hui\ » dixit Pélagie ASSOUROKO, directrice du CIFEC

C\’est l\’une des splendides salles de l\’hôtel Azalaï de la plage de Cotonou, qui a servi de cadre au Centre international de formation en esthétique et en coiffure (CIFEC), pour célébrer la journée internationale de la femme. C\’était devant un parterre d\’invités, des auditrices de la première et de la deuxième année et des parents, ce samedi 12 mars 2022.

La première édition de la journée internationale de la femme du Centre international de formation en esthétique et en coiffure (CIFEC), fut une soirée inoubliable, meublée de débats sur l\’autonomie et l\’émancipation de la femme, des chorégraphies, des pièces théâtrales, des interprétations, surtout 02 communications sur le leadership et la remise des attestations de fin de formation de la première année.

On est là, pour célébrer la journée internationale de la femme et profiter de l\’occasion pour remettre les attestations à nos auditrices qui ont terminé leur première année de formation en esthétique et en coiffure. Elles étaient au départ une cinquantaine d\’auditrices, mais c\’est seulement 17 personnes qui sont admises en deuxième année. Cela témoigne la rigueur et le sérieux que nous nous attelons à former les jeunes, a planché Pélagie ASSOUROKO, directrice du Centre international de formation en esthétique et en coiffure (CIFEC), dès l\’entame de son discours.

Par cette célébration, nous voulons amener nos auditrices à mieux comprendre les enjeux et l\’importance d\’être une bonne et grande femme aujourd\’hui. Elles doivent prendre conscience de leur mission dans la société. C\’est pourquoi nous leurs avons donné l\’opportunité de s\’exprimer, non seulement, de dire ce qu\’elles pensent de la journée internationale de la femme, mais aussi d\’écouter les conseils des aînés, que nous avons invité pour leurs entretenir, a-t-elle ajouté.

Cependant, le centre international de formation en esthétique et en coiffure (CIFEC), est un centre reconnu par l\’État. Alors, après les évaluations internes au centre, elles sont admises à prendre part à l\’examen national, organisé par l\’État. Cela veut dire qu\’elles finissent avec 02 diplômes, celui du centre et le diplôme d\’État. Après, elles vont en stage professionnel, ce qui veut dire que les instituts ont l\’obligation de leur payer à la fin de chaque mois, jusqu\’à la fin de leur stage. Et cela traduit pourquoi, bons nombres d\’entre elles, décrochent pendant leur stage, leur premier boulot. Et si, elles ont les moyens d\’ouvrir leur propre institut, nous les accompagnons. Si, elles veulent travailler, nous les accompagnons également, a-t-elle confié.

Il faut préciser que le centre est ouvert à tout passionné de la beauté et des formations professionnelles et qualifiantes. Le centre international de formation en esthétique et en coiffure est créé en 2018. Et a 02 centres de formation, un à Cotonou (Cadjèhoun, à coté de home hôtel), et le second à (Calavi, en face de l\’école Bakitha).

Alain Kolawolé ALAFAÏ