Les pays où les gouvernements se croient au-dessus de leurs peuples ne peuvent jamais bénéficier d\’un sursaut collectif national face à une crise majeure.
Le Mali nous prouve l\’importance d\’un peuple dans la gouvernance d\’État.
La CEDEAO n\’a pas de direction, ça cafouille et s\’égare parce que la manière de décider dans cette organisation est de type dictatorial et c\’est la même chose dans les États membres. Le Mali ne doit rien céder désormais, ça passe ou ça casse avec cette CEDEAO bureaucratique, incompétente, pyromane et budgétivore.
Professeur Simon-Narcisse TOMETY