(Les riverains et usagers doivent garder un peu de patience)
Le Bénin, à l\’instar des autres pays africains, se dote d\’infrastructures routières de qualité. C\’est pourquoi, le gouvernement béninois, ne cesse de confier certains ouvrages à l\’entreprise EBOMAF, reconnue par la qualité des routes livrées. C\’est dans cette vaine que l\’Etat béninois lui a confié les deux tronçons Cococodji-Hèvié-Ouèdo-Togba-Kpota long de 21 km et Misséssinto-Zinvié-Kpanroun-Sèdjèdénou long de 34 km réunis en un, et qui font aujourd\’hui la fierté des riverains des localités bénéficiaires. Le premier, celui de Hèvié- Kpota est actuellement à l\’étape des travaux confortatifs et sur le second, Misséssinto-Zinvié, le bitumage est déjà conjugué au passé. Mais pour l\’heure, tous les moyens sont déployés pour la finition des ouvrages d\’assainissements.
Cependant, un texte publié sur les réseaux sociaux en début semaine dernière avec quelques images à l\’appui, parle de la mafia d\’EBOMAF et de négligences des cadres techniques du ministère des travaux publics, tentant ainsi à mettre de doute sur le travail minutieux qu\’abbat la mission de contrôle en collaboration avec les techniciens d\’Ebomaf pour des travaux de qualité, mais également pour la livraison à bonne date des deux chantiers.
Si ces auteurs étaient de bonne foi, pourquoi ne s\’approchent-ils pas de la mission de contrôle encore moins de la direction technique d\’Ebomaf pour s\’imprégner de l\’évolution des choses? Dans ces accusations infondées sur la toile, ils vont jusqu\’à parler de béton de propriété inexistant. Que connaissent-ils des travaux de bitumage ?
Sont-ils du domaine ?
Comment peut-on poser des bordures sans béton de propriété ?
Ces auteurs indélicats et teintés de mauvaise foi, pour se faire entendre cherchent non seulement à attirer la colère du Chef de l\’État sur les techniciens chévronnés du ministère des infrastructures, mais aussi sur la mission de contrôle en charge de vérifier et valider les travaux d\’Ebomaf.
Ils vont jusqu\’à dire que les caniveaux réalisés souffrent de professionnalisme. La question qu\’on est en droit de se poser est de savoir: ce qu\’ils connaissent de la réalisation des ouvrages ? Ou bien, suffit-il pour un quelconque individu de prendre des images et de commencer par faire les analyses et commentaires qui ne répondent pas à ce qui doit être ? Que c\’est cruel de leur part.
Il faut préciser ici que ces racontars n\’engagent que ceux qui croient. Selon nos investigations, les techniciens d\’Ebomaf restent soumis aux décisions et consignes de la mission de contrôle.
Ce qui convient de rappeler, un chantier en cours de réalisation nécessite une période de patience de la part des usagers et des riverains, afin de permettre au maître d\’ouvrage de corriger les éventuelles imperfections au fur et à mesure jusqu\’à la livraison définitif du projet.
C\’est pourquoi il est de bon ton que l\’on prenne de la hauteur afin de ne plus verser au travers de la réalité dans les écrits.
Sources extérieures