Conquête et quête de liberté
La liberté de penser fait l\’homme et justifie le point de départ de sa dignité.
Quand cette liberté devient le facteur limitant comme la loi de Liebig ou la loi du minimum chez les plantes, alors nous cessons d\’exister pour nous-mêmes et pour les autres.
Cette liberté doit être considérée comme une dette de la communauté envers l\’individu.
La liberté de penser conditionne toutes les autres libertés.
Les populations doivent être éduquées à défendre leurs libertés. C\’est le plus grand défi à relever pour rendre possible le vivre-ensemble durable.
Professeur Simon-Narcisse TOMETY