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Tomety sur le sexe et la profession: \ » Quand vous transformez en baisodrome professionnel une administration publique, où se trouve sa puissance publique?

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Quand l\’addiction au sexe tue la puissance publique.

Quand vous transformez en baisodrome professionnel une administration publique, où se trouve sa puissance publique? Le sexe tue le pouvoir d\’État et aucun institutionnaliste sérieux ne peut nous démentir.

Il n\’existe ni secret professionnel ni secret d\’État partout où la sexualité incontrôlée dicte ses lois dans une administration publique. Le sexe érode tout pouvoir et il n\’a pas besoin d\’une couchette et d\’une couette pour révéler vos penchants insatiables de la consommation des sexes. Les costumes et les grands boubous ont beau cacher nos faiblesses dans la gourmandise sexuelle, mais tout le monde sait que vous êtes des gamins ridicules.

Malheureusement, vous vous demandez les critères qui ont prévalu dans la nomination et l\’élection de certaines personnes immorales qui abusent du sexe comme leur drogue. Nos administrations sont gavées de chefs irresponsables et vicieux souffrant d\’une incontinence sexuelle permanente.

La société des sottises et des mœurs légères pour une Administration républicaine qui a perdu tout d\’une puissance publique et du bien commun. Nous insistons sur cette décadence des valeurs.

Nous n\’avons jamais lu dans un code de déontologie une permission pour la sexualité au bureau. L\’indécence ronge la morale et la conscience. Ils se prennent au sérieux mais ils n\’ont rien de sérieux. Un chef voyou est un gadget dépourvu de lucidité.

Quand la vertu devient décadente, il ne reste que la gâchette facile pour empêcher de voir et de combattre. Ils sont perdus dans le Ténéré, ce désert des déserts qui ne pardonne point l\’égarement. On est voyou vicieux ou on est sexuellement vertueux.

Une société de chefs-gadgets et débiles sans chefs-d\’œuvres. Où va-t-on avec cette culture de débauche institutionnelle? On vole, on torche, on perd l\’autocontrôle, on fonctionne sans boussole et système de freinage intérieur.

Quelle éducation devons-nous donner à nos petits-fils pour qu\’ils restent dans le jardin de l\’amour sans piétiner nos valeurs familiales? Voilà le combat citoyen que nous impose l\’école de la citoyenneté responsable.

Une société sans patriarches est une société sans patrie, sans pudeur et sans dignité humaine.

Quand le sexe se substitue aux lois de la république, il n\’y a plus de loi et de déontologie. Nous sommes une société typiquement anomique avec une vacuité d\’exemplarité des chefs.

Que vaut un chef indiscipliné? Une coquille vide de vertus d\’où sortiront des poussins qui ne grandiront jamais. Nous y sommes avec nos hypocrisies, hélas puantes. On est digne quand on intègre une dose de scrupule dans son mode de vie en tant que chef. Hélas, il y a plus de faux chefs qu\’on en trouve de vrais. Une société de faussaires sexuels.

Lorsqu\’un segment de la chaîne décisionnelle de l\’État est sous la dépendance des trafics d\’influence sexuels, vous n\’avez qu\’une fausse puissance publique. L\’État est déstructuré mais présente l\’apparence d\’un état organique et fonctionnel normal. C\’est un État qui couve des vices cachés dans sa chaîne décisionnelle.

La sexualité fragilise tout système de renseignement de l\’État, c\’est pourquoi il faut sanctionner avec la dernière rigueur les chefs qui pratiquent la prostitution sexuelle au bureau.

Professeur Simon-Narcisse TOMETY

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